La Boutique du Fouilleur est le magasin leader en Europe avec plus de 5500 detecteurs vendus par an. Vous y trouverez une equipe de passionnes qui vous conseillera dans votre acquisition.
Et oui voilà comment une vrai collaboration peut avoir lieu !!!! Moi ça ne me dérangerai pas du tout d'aller faire des endroits que nous demanderai les institutions Français faute de temps.. Après dans le cas ou l'on trouve des choses intéressantes pour eux, il se déplaceraient.. et pourquoi pas ?
On à la même passions !! Eux c'est un métier, nous c'est une distraction, mais travailler main dans la main satisferait tout le monde... Après oui punir ceux qui en abuserait ou ceux qui revendent sur ebay etc.... , la d'accord.. Mais quand même une grosse majorité des poeleurs sont des passionnées d'histoire et seraient même fier de rendre service aux institutions françaises.. Bref... est ce que cela verra le jour...
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Creuser un trou ??? Oui mais pas plus de 3 mètres alors.
Et certains ont une formation universitaire (5 ans d'histoire pour votre serviteur). Il y également en France nombre d'archéologues à l'esprit ouvert, bien souvent dépourvus de travail dans ce domaine vu la pauvreté du secteur, qui seraient ravis qu'une coopération soit renforcée entre professionnels et "amateurs". A côté des poelleurs, il y a tous les passionnés du patrimoine. Le bénévolat est parfois un peu en panne et la coopération entre institution et associations reste faible. Pas seulement une question d'argent mais aussi de mentalité, d'ouverture d'esprit, de conscience.
A une époque la coopération se passait mieux. Et j'ai connu des présidents d'associations d'érudits locaux qui ont pu dans les années 80 conduire des fouilles sur leur commune, en toute légalité, en étroite correspondance avec les autorités administratives et scientifiques. Ce qui ne se fait plus, ou guère, depuis bien des années.
Au Royaume Uni, ils n'ont pas l'air d'avoir plus ou moins de pilleurs qu'ailleurs. Quand ils les trouvent, ils les sanctionnent et la destruction de sites archéologiques y est extrêmement mal vue. Les Britanniques ont simplement la sagesse de comprendre que le détecteur, comme la pelle, n'est qu'un outil. Tout dépend de la motivation et de l'intelligence de celui qui utilise l'outil.